Et papa arrive avec la batte de base ball, le monde fou de Tokio Hotel.
Présenter Tokio Hotel n'est pas nécessaire, mais vous devez lentement les prendre au sérieux. Ce qui a commencé comme une histoire de groupe d'école en 2001 est maintenant le plus grand phénomène pop et export depuis Rammstein. Le troisième CD : Humanoid (02.10 d'Universal music) est aussi attendu par les fans de France que d'Amérique par des frissons de plaisirs, pendant que le magazine Rolling Stones fête les 20 ans des jumeaux Bill (chanteur) et Tom (guitare) en tant qu'icons de style. Pour GQ les jumeaux nous emmènent dans un petit voyage ultime à travers leur univers.
Le style de Tokio Hotel.
Bill: Déjà bien avant que le groupe ne commence, j'adorais sortir de la maison avec du maquillage et tout ce qui va avec. Je ne me sentais pas comme si j'étais pomponné, mais comme moi-même. En fait, quand j'ai quelques jours de repos en ce moment, ce qui arrive rarement, j'adore m'assoir dans le canapé ni rasé, ni maquillé et en jogging dans le canapé. C'est une chance plutôt sympa.
Tom: J'ai toujours eu cette coupe urbaine. Ca a été des dreadlocks, maintenant des cornrows (tresses plates africaines) j'aime les cheveux facile d'entretien. Tu te lèves le matin et tu n'as pas a te coiffer les cheveux d'abord.
Les idoles de Tokio Hotel:
Bill: J'ai toujours apprécié les films de vampires, j'aime bien Nena et David Bowie. Je n'ai jamais pensé, je veux lui ressembler. Et le Visual Kei japonnais (les bandes-dessinées et le punk ont inspiré le mouvement de mode) auquel je suis souvent comparé, je ne connaissais pas.
Tom: J'aime les mecs coriaces. Steve McQueen et Robert De Niro. Je veux leur ressembler quand je serais vieux. J'imagine que je porterais une barbe après.
Tokio Hotel et la rébellion:
Bill: Une fois, notre beau-père est passé nous prendre en ville avec une batte de baseball parce que des garçons plus vieux nous avaient menacé de nous frapper. Nous attirions déjà l'attention quand nous avions 9 ans et en étions conscients. Plus les gens étaient troublés par mon maquillage noir, plus noir il serait le jour suivant.
Tokio Hotel et le sexe:
Bill: Pendant les concerts, je pourrais bien sûr dire à une des gens de la sécurité : Celle-ci, celle-ci et celle-là, ammène les moi plus tard. Mais ça ne m'interesses pas, je dois être amoureux.
Tom: Pour être avec moi, pas besoin de trucs difficiles (rires) j'en ais vraiment tiré profit pendant longtemps, j'ai eu beaucoup d' “histoires courtes”. Mais c'était seulement quelque chose de physique et rien de plus.
Bill: Une fois, je revenais à ma chambre d'hôtel et il y avait 3 filles allongées sur le lit. Les gardes du corps sont devenus fous et les ont jetées dehors bien sûr. Des choses comme ça arrivent. Les filles entrent par la fenêtre.
Tokio Hotel et la vie privée.
Tom: Depuis quelques années, nous vivons des vies très retirées. Si nous sortons de la maison, la sécurité est toujours avec nous. Sortir et se balader dans le coin de notre côté, nous ne pouvons plus le faire. L'année dernière, je n'ai même pas rencontré une seule personne simplement dans la rue.
Tokio Hotel et le business:
Tom: Notre nouvel album est aussi un remerciement à nos fans allemands d'être restés vrais envers nous pendant que nous faisions des tournées dans le monde. Que nous travaillions souvent avec des personnes plus âgées pendant nos jours de travail ne nous embête pas du tout.
Bill: J'adore vraiment sortir avec des personnes plus âgées ! J'adorerais avoir un club de vieux folks. Je les rencontrerais tous les après-midi pour un café. (interview Jürgen Ziemer)
Les photos:
Minipunk:
Quant Tokio Hotel ont eu leur premier hit numéro 1 en 2005 avec Durch Den Monsun, Bill portait un mélange punk, emo et “j'ai mal dormi la nuit dernière” sur sa tête.
Porc-épic:
Pour leur deuxième album (zimmer 483) le chanteur s'est présenté en 2007 avec une nouvelle coupe de cheveux porc-épic, qui semblait sortir d'un manga japonais. Mais ça semble être une coïncidence.
Rasta élégantes:
Le dernier cri pour le nouvel album: Humanoid. Le designer a des dreadlocks avec des extensions claires. Ça n'a rien à voir avec le reggae. Bill a juste voulu changé...