Stalker oder Fans? Die „Afghanen auf Tour“ Perrine (21, v. l.), Noemai (Noémie) (20), Aurore (21) und Georgina (Cindy) (25)
C'est pour cela que nous suivons Tokio Hotel
A quoi cette illusion de fan mènera-t-elle ?
Elles ont suivi chaque mouvemement de Bill et Tom Kaulitz de Tokio Hotel.
Elles se déguisent comme des criminelles.
Elles se font appeler : les Afghanes on Tour
Elles viennent de France et suivent le groupe depuis 6 mois maintenant.
Leurs noms : Perrine, Georgina, Aurore et Noémie.
Les reporters de Bild ont demandé aux filles, qui se montrent sans déguisements : pourquoi ne laissez vous pas les garçons de Tokio Hotel en Paix ?
Nous ne sommes pas des stalkers, clame Perrine.
On aime leur musique, leurs textes.
On ne les a pas suivis, on veut juste savoir où ils vivent et comment.
Cela nous intéresse.
Parmi les fans-extrêmes, une compétion a commencé.
Qui peut voir le groupe en privé le plus de fois ?
On peut trouver des vidéos que les soi-disant fans ont posté sur le net
Perrine : ce qui est spécial, c'est qu'on veut être autour de Tokio Hotel tout le temps.
Plus vous les voyez, plus vous êtes contents.
Perrine a poussé le fanatisme aussi loin que de déménager de Paris à Hambourg, il y a 2 ans, pour être près de Bill et Tom.
Elle a trouvé un travail (n'a pas dit quel travail) et une maison dans les environs de celle des jumeaux, suivant les deux un peu tout le temps.
Le 15 avril, le summum de cette fan-folie est arrivé à une station essence de Hambourg quand Tom a perdu son calme et frappé Perrine au visage.
La jeune femme porte plainte.
Peu avant ce jour, la mère de Bill et Tom avait été aggressée par les Afghanes. Les filles nient cela.
Noémie: La mère de Tom nous a attaquée avec la canette de coca !
La dispute a eu lieu devant le domicile de Bill et Tom, où les Afghanes attendaient les jumeaux.
Que veulent les Françaises maintenant ?
Leur avocat Burckhard Benecken dit à Bild :
Nous voulez des excuses et une compensation.
Nous réclamons au moins 10 000 €
Le management de Tokio Hotel ne voulait pas commenter les déclarations que les filles avaient faites.