interview vanity fair

Vanity Fair : Monsieur Kaulitz, comment vous sentez-vous après votre opération des cordes vocales?


Bill Kaulitz : Bah, comme quelqu'un à qui on a enfoncé une tige en métal dans la gorge pendant qu'il était sous anesthésie pour lui couper un peu partout sur les cordes vocales avec des petits couteaux. On connaît tous cette sensation. La vache, je suis content que ça soit derrière moi maintenant. Mais j'ai toujours peur pour ma voix et en plus, je me sens mal par rapport aux concerts annulés.

VF : Combien de temps êtes-vous arrêté?

BK : Après l'opération, j'ai pas le droit de parler pendant 12 jours. Ensuite, je dois faire une rééducation de 4 semaines. Ca j'en ai vraiment très envie !

VF : Parlons de vos début. Je veux dire, la créativité prend source à partir du souvenir des blessures et des maux. Quels étaient les vôtres ?

BK : Ma plus grosse blessure, c'était la séparation de mes parents. J'avais 7 ans et je ne comprenais pas. Ca m'a beaucoup marqué. Sur notre premier album, il y a une chanson qui parle ça. Elle s'appelle "Gegen meinen Willen"

VF : On sait que votre beau-père Gordon Trümper est professeur de guitare. Que fait votre père biologique ?

BK : Il est camionneur et il vit à Hanovre.

VF : A l'age de 8 ans, votre famille a déménagé à Loitsche, un village de 700 habitants. Comment avez-vous vécu ce déménagement ?

BK : C'était affreux pour moi parce que je ne suis absolument pas un gars de la campagne. On peut très bien s'imaginer comme nous nous y sommes fait remarqués, Tom et moi. Ils nous ont regardé comme si on était des aliens qui n'avaient pas toute leur tête. L'école aussi c'était terrible. Je devais me lever tous les jours à 5h30 pour prendre le bus pour Wolmirstedt et je n'étais de retour à la maison qu'à 4h30. Comme je détestais ça ! C'était la pire période de ma vie.

VF : Comment les profs ont-ils réagit face aux frères Kaulitz ?


BK : Tom et moi avons toujours été ensemble jusqu'à la 5ème. Ensuite on s'est fait séparés par punition. C'était une vrai claque en pleine tête qui m'a beaucoup marquée aussi. Jusque là on avait vraiment tout fait ensemble. Nous sommes de vrais jumeaux et nous sommes incroyablement proches. Bien sûr, on s'est rebellés contre la punition de séparation mais les profs disaient qu'ils n'y arriveraient pas avec nous deux parce qu'on avait une trop grande gueule. Je n'étais pas du genre à me manifester pour ensuite parler tout bas. J'étais toujours en train de gueuler. Ma mère était convoquée tous les deux jours à l'école.


VF : Vous aviez pour spécialité de contester la notation des contrôles lorsqu'ils n'étaient pas rendus en temps et en heure. D'où vous venait ce savoir-faire ?

BK : J'ai toujours su que je n'aurais pas besoin de l'école parce que je voulais devenir chanteur. Je me suis penché attentivement sur mes droits parce que les profs m'énervaient pas mal. Je savais exactement ce qu'ils avaient le droit de faire ou non. J'avais des profs qui n'allaient pas bien du tout. Certains refusaient de me dire bonjour parce que j'avais les cheveux en l'air et que mes ongles étaient vernis. Ils disaient que je ne pouvais pas venir comme ça à l'école. Il y en a un qui ne voulait pas me faire cours à cause de mon look. J'ai eu droit à des phrases comme : "La tête n'est pas seulement faite pour supporter des coupes élégantes"
J'étais un Anti-élève et je ne me suis absolument pas laissé faire.


VF : Comment étaient vos notes ?

BK : Super. J'avais toujours une moyenne de 1.8 C'est ce qui énervait énormément les profs.


VF : Les profs ont-ils réussit à vous blesser ?

BK : Pas du tout. J'étais pas le genre de gars complètement malade qui ronge ses ongles parce qu'il est stressé. J'avais parfaitement confiance en moi. Après tout j'allais comme ça à l'école parce que je savais très bien que tout le monde regarde et que les profs en parle. J'ai toujours adoré ça. Je voulais vraiment me faire remarquer par mon style. Il fallait que les gens parlent de moi.


VF : Il y a peu de temps vous vous avez passé un examen par l'intermédiaire de l'école par correspondance. C'est important pour vous de savoir faire la différence entre Omelette et Hamlet ?

BK : Bah on devrait déjà savoir faire la différence =Mais dans l'ensemble, l'école est trop peu individuelle (donc trop générale) A quoi bon apprendre les maths si je sais que je n'en aurais plus jamais besoin dans ma vie ? En 4ème, j'ai choisi l'option musique. Là, ils m'ont tous regardé d'un air hébété. Mais tout ce qu'on y a fait, c'est apprendre par coeur la vie de je ne sais trop quels gens par coeur - aucune inspiration. J'avais toujours des mauvaises notes en chant parce que je devais chanter je ne sais quelles chansons populaires. C'était l'horreur !

VF : Le fameux cliché qui dit que la musique est le moyen d'échapper à la tristesse de la province était-il vrai dans votre cas ?

BK : Oui. Je me disais toujours : J'veux juste quitter ce maudit patelin où tout le monde se connaît ! Le pire chose qui existe selon moi, c'est la routine. J'ai horreur de la routine. C'est pourquoi j'ai exactement ce qu'il me faut avec Tokio Hotel. Chaque jour est différent : de nouvelles villes, de nouvelles personnes.

VF : Grâce aux paparazzi et à ceux qu'on appelle des Leser-reporter (des "journalistes" non qualifiés.) vous êtes observé 24h/24. Trouvez-vous que ce soit du culot ou un véritable travail?

BK : Quand j'étais plus jeune je m'imaginais que mes actes seraient filmés par les caméras et envoyés partout dans le monde. Je voulais qu'on me porte une attention sans bornes. Aujourd'hui j'ai concrétisé mon rêve. Alors je ne peux pas m'énerver pour ça.

VF : Est-ce qu'une personne pourra un jour devenir pour vous aussi importante que Tom ?

BK : Non. Ca passe au dessus de tout. Et je ne pourrais pas imaginer ma vie sans Tom. Il est impossible de décrive à quel point nous sommes proches. Ca a quelque chose de surnaturel. Nous pensons les mêmes choses et nous rêvons souvent de la même chose. A vrai dire, on aurait même pas besoin de se parler.

VF : Beaucoup de jumeaux ressentent leur symbiose comme un supplice et se mènent la vie dure.

BK : Bien sûr, nous nous disputons aussi. Et quand ça arrive, c'est très violent. On se jette littéralement dessus pour se battre. Il y a un an, on s'est battus avec des chaises dans une chambre d'hôtel. Mais nous ne sommes pas du tout rancuniers. Les portes claquent, chacun disparaît, et 10 minutes plus tard on se reparle.

VF : Lequel est le plus proche de vous : le Bill au naturel ou celui qui est maquillé ?

BK : C'est définitivement celui qui est maquillé. Le Bill non maquillé, c'est comme un déguisement pour moi. Si je n'étais pas connu je me trimballerai quand même comme ça. Ca fait totalement partie de moi


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une interview tres sympa ! et on en apprend encore sur eux !

Oui j'avoue, cette interview est trés bien =D
je n'en reviens pas que l'on aprenne encore des chose a leur propos ^^ en fin si quand même...
j'en reviens pas qu'ils se battent avec des chaises, quand ils étaient plus jeune j'ai appris que c'était avec des poeles^^ sont fou quand même x'D...
Tout de même je plein les profs mes bon d'aprés lui c'était des dingues lol
J'avoue parfois mets prof je les remballent vraimetn méchamant^^ j'en ai deja fait pleurer^^ bon aprés je me fais renvoyer de cour mais bon je m'arrête avant, pour ne pas que mes parents se fasse convonqué parce que sinon je suis morte --'

merci pour cette petite interview x3

moi je trouve ca normal qu'on apprenne des choses sur eux on est très loin de les connaitre d'ailleurs on ne les connait pas !

oui c'est vrai que suis-je sotte d'avoir dis ça --' !!
je voulais dire que ça fait bizzare d'en apprendre encore parce que dans presque toutes les news on nous répéte toujours la même chose a leurs propos en fin en quelque sorte =S je me comprend ^^...

t'inquiète lol j'avais compris ca lol

ah ça va alors, je me sens moins conne ^^

J'aimais beaucoup les photos qui allaient avec cette interview ... il faut que je les trouve =D

la suite

VF : Qui vous voit au naturel ?

BK : Ma famille. Et c'est tout.

VF : Les enfants stars sont les artistes les plus corruptibles parce qu'ils s'anéantissent en grandissant. Allez-vous faire des chutes de temps en temps pour conserver une image intéressante de vous ?

BK : Dans tous les cas c'est bien de montrer que l'on fait des erreurs. Mais je ne me mets pas la pression là dessus. Faire quelque chose de convulsif pour que les gens
ne s'enfuient pas, je trouve ça grave. Ce que j'ai détesté dès le départ c'étaient les groupes plus vieux ou je ne sais quels gens de maisons de disques qui voulaient m'expliquer comment ça fonctionnait. Y a pas de recette miracle ! Lors de nos premiers RDV avec la maison de disque ils voulaient nous refiler un styliste qui devait travailler notre look. Jusque là il n'y a encore jamais eu de styliste pour me dire quoi mettre. Ca me limiterait. C'est aussi nous qui décidons de chaque concert et de chaque contrat nous-mêmes parce que je trouve ça vraiment grave de ne pas prendre ses propres décisions.

VF : Qui a encore le droit de vous dire non ?

BK : Au travail personne. Ni le management ni la maison de disque. Il n'y a que mes meilleurs amis et ma famille que je laisse réellement me dire des choses. Ma maman peut me dire : « Bill, ça va pas la tête ?! » Là je me mettrais à y réfléchir.

VF : Vos parents essayent-ils encore aujourd'hui de vous élever ?

BK : Je dois dire que ma maman ne nous a jamais vraiment élevé. Faire ses devoirs, c'était quelque chose que l'on faisait de plein gré. Elle nous a laissé le champ complètement libre mais elle a quand même toujours gardé un œil sur nous. Il y a une confiance énorme entre nous. On se comporte en amis. Il n'y a absolument rien que je ne raconterais pas à ma mère. Je n'ai jamais eu de secret pour elle. Lorsque je suis rentré bourré pour la première fois à la maison, elle m'a donné son avis sur la question mais je n'ai pas eu besoin d'avoir peur

VF : Votre mère vous demande-t-elle de ne pas toucher à vos cheveux au moins lors des soirées sacrées (ex Noël) ?

BK : Non. Ca lui est complètement égal. La première fois que je me suis teint les cheveux, j'avais 9 ans. Ensuite ils ont été alternativement verts, bleus, blancs et noirs. Mon piercing à l'arcade, je l'avais déjà à 13 ans. Et même pour ça elle a été cool.

VF : A vos concerts, en moyenne 200 adolescentes tombe dans les pommes sous l'extase et on y lève des pancartes comportant des slogans tels que « Baise-moi à travers la mousson ». Qu'est-ce que ça fait de savoir que des millions de filles projettent leurs fantasmes sexuels naissants sur vous ?

BK : Sincèrement, je n'y réfléchis pas trop. Parfois on se regarde et on est forcé de rire parce qu'on n'arrive pas à s'imaginer qu'une personne ait un poster de l'un de nous dans sa chambre. Pourtant j'ai toujours aimé l'idée d'être accroché quelque part sur un mur. Avant, je restais souvent assis dans ma chambre et je réfléchissais à ce que mon idole, Nena, pouvait bien faire, où elle pouvait bien être et ce à quoi elle pensait. Le fait qu'à présent d'autres gens puissent rester assis dans leur chambre et réfléchir à mon sujet, j'ai du mal à me l'imaginer. Pour moi, je suis tellement normal et nous ne sommes pas non plus particuliers les uns pour les autres. On ne se voit pas vraiment comme ça.

VF : A quelle fréquence pensez-vous à vous à la troisième personne ?

BK : Parfois. Mais c'est accidentel. Quand je n'ai pas l'énergie pour faire quelque chose je pense : Bill devrait quand même le faire parce que c'est bon pour le groupe.

VF : Votre aplomb lors de vos apparitions en public semble inquiétant pour certain. Y a-t-il encore une différence entre le personnage de Bill et le vrai Bill ?

BK : Il y a certaines choses que l'on garde pour soi. Mais sinon la contrainte fait qu'il n'y a pas grande différence. Ces trois dernières années ont été une course sans pause. Il n'y a pas eu de coupure pour se poser quelque part et avoir une vie vraiment privée. Même en tournée nous avions des caméras autour de nous 24 heures sur 24. Que peut-il alors nous arriver sans que tout le monde le sache quelques heures plus tard ? Mais c'est ce que j'ai toujours voulu. Alors du coup il faut s'y faire.

VF : Ceux que nous envions ne se sentent pas enviables. Qu'est-ce qui est le plus énervant dans le fait d'être Bill ?

BK : Le gros problème pour les gens comme moi, c'est la confiance. J'ai énormément de mal à croire quelqu'un et à me laisser aller. Je ne me suis fait aucun ami lors de ces dernières années et je ne suis pas non plus tombé amoureux. Lorsque je rencontre quelqu'un, je suis très prudent et sceptique ; je me demande : Qu'est-ce qui se cache derrière ? Parce que malheureusement, on a déjà connu beaucoup de gens qui ensuite se sont comportés bizarrement ou qui ont raconté des choses aux journalistes. Si je n'étais pas aussi célèbre, je serais probablement déjà tombé amoureux depuis longtemps d'une des personnes que je connais déjà.

VF : Qui a abusé le plus violemment de votre confiance ?

BK : Je ne suis encore jamais laissé allé au point qu'on puisse en avoir la possibilité. J'ai un bouclier autour de moi. La liberté de sortir comme on veut et de rencontrer quelqu'un sans avoir à en avertir les autres, c'est la plus grosse concession à faire. Malgré tout, ma vie actuelle reste ce que j'ai toujours voulu avoir.

VF : Le problème de confiance est-il la raison pour laquelle les stars aiment se mettre en couple avec d'autres stars ?

BK : Oui. Angelina Jolie n'a pas à se faire de soucis sur le fait que Brad Pitt pourrait avoir envie de devenir célèbre grâce à elle. Une personne célèbre préfère se chercher quelqu'un qui a la même vie que lui et qui puisse s'en enchanter. Mes relations sérieuses n'ont jamais compris le fait que j'allais dans la salle de répétition directement après les cours ou alors que je préférais aller jouer dans des clubs le WE plutôt que de regarder la télé avec elles à la maison. Aujourd'hui c'est évidemment d'autant plus difficile. Qui aurait envie de partager cette vie avec vous ? Et bien sûr, il faut que cette personne sache qu'on n'en ressort pas aussi facilement.

//// c'est ce que je disais qui voudrais de leur vie ? bref la suite////

VF : A quand remonte la dernière fois que vous étiez amoureux ?

BK : C'était il y a 3 ans et demi. Je n'ai pas trouvé le grand amour. Je ne crois pas non plus que tout le monde le trouve. Et si on le trouve, cela n'arrive qu'une fois. Dans mon cas, il me faudra beaucoup de chance pour le trouver.

VF : De toute façon, à 18 ans, on ne veut pas plutôt fricoter à tout va ?

BK : Je ne sais pas. Justement à cause de cette vie je préfèrerais trouver le grand amour plutôt que de fricoter. Le peu de temps que j'ai, j'aimerais le passer avec quelqu'un dont je suis persuadé que : c'est la bonne !

VF : Avez-vous déjà dit « Je t'aime » à une fille ?

BK : Oui. Mais je ne le pensais pas vraiment. J'aurais dû dire : « Je suis amoureux de toi » Plus je grandis, plus je prends en compte cette différence. Tom dit probablement tout le temps « Je t'aime » aux filles pour pouvoir les obtenir.

VF : Vous disputez-vous pour les mêmes filles ?

BK : Nous aimons le même genre de fille. Nos copines ont d'ailleurs toujours été amies. C'était super agaçant parce qu'ensuite elles ont toujours conspiré contre nous. Notre premier baiser s'est fait avec la même fille. Tom en premier. Et le lendemain elle s'est mise à m'embrasser. Ensuite, c'était du passé pour nous. Oh mon Dieu j'ai trouvé ça vraiment nul à chier aussi horrible que puisse être un premier baiser.

VF : Quel âge aviez-vous à l'époque ?

BK : 11 ans. Elle avait 3 ans de plus et avait déjà de l'expérience.


VF : Quand est-ce que Tom a eu sa première fois ?

BK : A 14 ans si je me souviens bien.

VF : On dit que Tom a une longue liste de conquêtes.

BK : Je laisse ça pour lui. Le fait qu'il ait les nerfs pour se prendre chaque soirs une nouvelle personne. Moi ça ne me fait pas du tout envie. Mais sur ce point nous avons toujours été différents.

VF : Votre collègue Robbie Williams nous a raconté un jour qu'il existait deux sortes de groupies en Allemagne. Certaines voudraient prendre une photo avec leur appareil photo numérique pendant l'acte sexuel pour pouvoir présenter une preuve à leurs amies. Les autres demanderaient en plein milieu de l'acte : « Robbie, est-ce que toi aussi tu ressens quelque chose de sincère pour moi ? »

BK : Tom m'a raconté ça lui aussi. Depuis que nous voyageons autant, je n'ai eu personne dans mon lit. Mais c'est aussi que ça me dégoûte un peu de laisser quelqu'un que je ne connais pas entrer dans mon lit chaque soir. Je n'en suis encore jamais arrivé là. Je n'aurais pas non plus la confiance de ramener une fille avec moi pour une seule nuit . Tout ce qu'on a de privée lorsqu'on est sur la route, c'est notre chambre d'hôtel individuelle. Et le fait de laisser une personne y dormir comme ça une nuit avec vous – non, je serais très sceptique

VF : Avez-vous déjà couché avec quelqu'un ?

BK : J'aimerais que ça reste mon secret.

bon ben tu as eu ma réaction hjein =D
ca fait tellement de bien =D

calie--love-TH-x3 a écrit:

ca fait tellement de bien =D

pourquoi ? ou de quoi?


je ne savais pas qu'il avait eu autant de couleur différentes de cheveux "verts, bleus, blancs et noirs"... blanc ça devait être choquant comme même^^

je suis d'accord avec bill coucher avec des personnes différentes chaque soir ça doit être bizarre =S je pourrai pas!
je me demande pourquoi il neveux pas repondre a la derniere question !! de toute façon qu'il a dejà coucher ou pas sa changera pas grand chose... pour leur music s'entend !!^^

merci pour la suite =D

je dis que ca fait du bien qu'il 'ai pas pris le grosse tete qu'il soit comme avant enfin fééli me comprend xD

a okay d'accord je te comprend un peu !!

ah merci xD
non mais ca fait du bien et ca change des autres interview =D

oui clair ça change =) je l'aime bien cette itw =D

la suite


VF : Est-ce que ça vous étonne que certains vous prenne pour un homo ?

BK : Pas du tout. La plupart des gens pensent de cette manière clichée selon laquelle maquillage plus cheveux stylisés est égal à homo. J'ai voulu mettre les choses au clair : ça n'est pas le cas. Chacun peut faire ce qu'il veut. Une chose n'a pas forcément de rapport avec une autre.

VF : Que feriez-vous si vous deveniez une fille pour une journée ?

BK : Quoi qu'il en soit je ne sortirais pas avec mon frère.


VF : Et à part ça ?

BK : Oh mon Dieu qu'est-ce que je ferais ? Bah certainement la même chose que maintenant parce que je ne fais pas trop la différence.

VF : Qu'interdiriez-vous volontiers aux filles ?

BK : De ne pas être jalouses car la jalousie est très importante. Quand je suis amoureux, je m'accapare la personne et je ne la lâche plus. Ca me rendrait fou si ma partenaire me disait : « Hey Bill, je me fiche de toutes ces filles qui hurlent. J'ai confiance en toi »

VF : Vous a-t-on déjà trompé ?

BK : Non. Et je n'ai encore jamais trompé personne moi non plus. La fidélité, c'est ce qu'il y a de plus important pour moi.

VF : De quelle manière avez-vous bassiné vos copines ?

BK : Je parle très fort. Toute la journée. Et toujours avec les mains et les pieds . Je ne laisse jamais la parole aux autres non plus. Alors ça fait chier tout le monde.


VF : Qu'est-ce qui est le plus difficile : aimer quelqu'un d'autre ou s'aimer soi-même ?

BK : S'aimer soi-même. C'est assez difficile d'apprécier tout ce que l'on est. Il y a énormément de moments où je ne suis pas sûr de moi et où je préfèrerais me creuser un trou : Me foutre dedans, mettre un drap par-dessus et y rester pendant un an. Parfois je suis très heureux qu'on mène cette vie d'ivresse et qu'on enchaîne concert après concert car ça permet de ne pas trop réfléchir. On n'a tout simplement pas de temps pour la solitude.

VF : Pouvez-vous encore vivre sans des gens pour s'occuper de vous ?

BK : C'est vrai que je ne peux pas aller comme ça à la boulangerie. Du coup c'est quelqu'un d'autre qui le fait. Mais je suis encore capable de mener une vie de tous les jours parce que mon problème, c'est d'être extrêmement perfectionniste. Je n'arrive pas à laisser les gens faire à ma place. Cette volonté de contrôle est assez maladive – et elle empire. Tout doit être fixé dans le moindre détail parce qu'il faut que je sois au courant de ce qui va arriver. Sinon je déjante. Tom aussi ressent ce stress. Pourtant nous payons beaucoup de gens pour qu'ils nous soulagent d'un maximum de choses. Mais nous nous sommes créer nous-mêmes alors on a du mal lorsque d'autres gens posent la main sur Tokio Hotel.

VF : Contrôlez-vous également vos finances vous-même ?

BK : Oui. On le faisait déjà à l'âge de 13 ans (avec Tom). J'ai accès à tous mes comptes et je les contrôle tout comme ma carrière.

VF : Savez-vous combien vous avez de millions ?

Une femme de la maison de disque avec un porte bloc crie du fond de la salle : « On ne parle pas d'argent ! »

VF : Quand achèterez-vous une villa à vos parents ?

BK : Aussitôt que je pourrais me le permettre. Dans tous les cas je voudrais vivre avec mes parents . Nous sommes tellement proches que je ne trouverais pas ça pesant. Il n'y aurait pas de limites où j'en viendrais à dire : « Oh mon Dieu, il faut que vous partiez maintenant »

VF : Supposons que vous vous fassiez enlever. A votre avis, quel serait le montant raisonnable de la rançon ?

BK : Autant d'argent que pourraient rassembler mes amis. Bien sûr il faudrait qu'on leur rende leur argent après.

VF : Que pensez-vous du déclin de Britney Spears ?


BK : Je comprends que ça puisse arriver parce que je mène cette vie moi aussi. Les gens de l'extérieur pensent probablement : « Elle a du fric, elle a atteint le jackpot, alors pourquoi elle se détend pas ? » Moi je ne pourrais pas m'imaginer faire une carrière solo et me retrouver toujours seul sur les routes. Je ne serais pas capable de supporter cette pression incroyable tout seul.

VF : Madonna a dit en 1991 : « Je ne serai heureuse que lorsque je serai aussi célèbre que Dieu » Pensez-vous la même chose ?

BK : C'est bien sûr une phrase amusante. Mais je la comprends tout à fait parce qu'il n'y a pas de limites. On ne peut pas dire : « Ah à présent j'ai du succès en Allemagne et ça me suffit » On a le besoin d'être partout aussi connu que possible. Même si j'étais riche comme Crésus et que je possédais ma propre île, je poursuivrais. C'est vrai : la gloire est une drogue. En être privé serait en tous les cas un vrai choc auquel j'aurais beaucoup de mal à me faire.


VF : Si les drogues n'était pas interdite : Lesquelles aimeriez-vous essayer ?

BK : Quelque chose qui décontracterait, qui ferait en sorte que je n'ais plus à tout contrôler.

VF : Dans vos rêves, êtes-vous une star ?

BK : Un jour j'ai fait un cauchemar : Je suis allongé sur un lit dans une salle de verre et tout autour il y a des photographes qui prennent des photos à n'en plus finir. Je dis à une personne de notre équipe : « Mais putain, tu peux pas tous les renvoyer, là ? » Mais le gars me dit : « Nan, pas possible. Tu as un rendez-vous et tu t'es réveillé trop tard » Pourtant je n'ai jamais manqué un rendez-vous. Je mets toujours 3 réveils pour éviter de me réveiller trop tard. Je n'ai jamais manqué de ponctualité non plus.

VF : Pourquoi personne ne vous a encore jamais vu danser ?

BK : Je ne danse jamais. Je m'assois toujours dans un coin – sauf si je suis bourré. Dans ce cas je le fais. Mais je trouve que la danse est un truc de filles. Même si ça sonne un peu prolo ,macho: Il n'y a que les filles qui doivent danser partout.

VF : Pensez-vous parfois à votre enterrement ?

BK : Pour être sincère : oui. Mes amis qui ont le même âge que moi y réfléchissent aussi. On s'imagine qui y serait et qui te pleurerait vraiment.

VF : Quelle musique devra être jouée durant votre sépulture ?

BK : « Magic Dance » de David Bowie dans le film « Le labyrinthe » C'est une chanson très amusante, et « Le labyrinthe » est le film de mon enfance que j'idolâtre encore aujourd'hui.

VF : Que portez-vous dans le cercueil ?

BK : Je suis habillé tout en noir et je porte une veste de cuir. Mon dernier souhait serait bien sûr qu'on me coiffe. Enfin j'espère que j'aurais encore des cheveux à ce moment-là. Sinon, quoi qu'il en soit, il faut que quelqu'un me mette une perruque.

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voila j'adore lol

ah c'est assez difficile a lire la derniere partie pour moi ...
bref la question 7 et aussi la premiere partie de sa répone ...
bref merci =D

Houla j'ai mal au yeux la . merci beaucoup féélida !! c'est trés gentil

ah serieux ça finit macabre cette itw =S
franchement merci, je le trouve super =D
...

Moi franchement je me suis marrer je sais ya rien de drole mais j'ai sourrie Bill a enfin fait une interwie et c'est super !

oui c'est vrai pour une fois qu'il fait un vrai (enfin je me comprend)